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lundi 29 juillet 2013

L'Apocalypse d'Arkahn


Une couverture qui en jette !

    "L'Apocalypse d'Arkahn" est enfin disponible chez Terriciaë. C'est un premier roman contant la chute d'un Empire galactique né il y a 220 000 ans. Le jeune Arkahn participe aux tenants et aboutissants de cette chute, en quittant la colonie terrienne d'Atlantis, 20 000 ans avant notre ère. Cette Humanité antédiluvienne doit composer avec les conséquences d'une histoire oubliée depuis la nuit des temps. Voici venu le temps de l'Apocalypse !

Disponible en commande sur Amazon et consors :  

    Je vous en propose la lecture du prologue :

    La fin. Un magicien sans rêve dans une ultime représentation. L’amphithéâtre était aussi sombre que le cœur de l’homme qui en foulait les dalles dures et froides. Une inscription rayonnante faisait office d’étoile isolée dans des ténèbres sculpturales le long d’une impressionnante coupole. Elle était la prophétie improvisée d’un illustre renégat. Écrite dans une langue magique ancienne elle délivrait un message unique à chaque personne capable de la déchiffrer. Il en était capable, lui Oraguur le grand She Valieh Tori archibicaïniste maître de la Guilde Triaglonique. Après lecture, la première chose qui lui vînt à l’esprit fut d’invoquer une cigarette prête à fumer dont la toxicité apportait un plaisir suave. Il consumait volontairement une partie de sa vie en une douce lueur qui dévoilait impudiquement son inéluctable fin.
    Le fugitif voulait donc apposer une prophétie indélébile que tous les responsables impériaux seraient obligés de voir, et en premier lieu l’Empereur. Infiltrer le cœur du palais impérial juste pour cela était intriguant. Le fugitif était là, tapi dans l’ombre, à observer sa moindre réaction. Acteur et spectateur immobiles. Aucun d’eux ne souhaite rompre ce fragile état de grâce d’une parole malheureuse. L’Empereur avait ordonné à l’archibicaïniste d’effacer toute trace de cet homme. Hélas, il ne pourrait effacer cette inscription. La pierre du palais était inaltérable. Pourtant cet homme avait réussi ce miracle. Voilà comment il avait réussi à lui échapper jusqu’à maintenant, en enchaînant les miracles. Oraguur était le plus grand archibicaïniste de l’Empire et un homme résistait à ses tours prodigieux par des miracles imprévisibles. Il était temps que cela cesse. Mais pour qui ? La prophétie le déstabilisait par sa justesse. Elle mettait en lumière ses doutes les plus inavouables quant à l’action juste et l’avenir de l’humanité. Ses ambitions s'annonçaient condamnées à l’échec de son vivant.
   Le fugitif avait fait sombrer la galaxie impériale dans l’horreur et l’Empereur avait aujourd’hui l’occasion de tout remettre en ordre avec son aide. Pourtant l’avenir était sujet à caution malgré l’espoir concret d’une sortie des ténèbres. Son expérience séculaire l’affirmait.
    La cigarette arrivait à sa fin. Le grand sorcier la jeta à ses pieds et l’écrasa pour l’éteindre. Le fugitif avait été son ami. Il avait été aussi empereur. Mais ses crimes étaient impardonnables, quelles qu’en soient les raisons. Tous les citoyens impériaux avaient été personnellement touchés par les tragédies innommables engendrées par cet homme, sans compter les chiffres astronomiques des pertes humaines. Toute la galaxie était à feu et à sang. 

mardi 26 février 2013

Synchronicité abyssale - Imaginaire des hommes et des dieux, de la Déesse Mère à la Bonne Mère

Bien que cela soit un peu prématuré, je vais me lancer dans un exercice périlleux en tentant d'agencer les dernières synchronicités à ma disposition. C'est à travers son propre prisme que la vérité rejaillit.

Commençons par la tendance du moment : l'Apocalypse.
 
On s'éclate !

Pour fêter la soi-disant fin du monde datée au 21/12, M6 diffusait le film 2012. J'y ai vu des détails de synchronicité qui m'avaient totalement échappé à la première lecture. Un des acteurs compare la Terre à une orange, comme je le fais dans un de mes articles qui faisait suite au tsunami japonais. Curieusement, le personnage principal est un auteur de science-fiction, comme moi. Mais je me dis que la coïncidence n'est pas suffisante. C'est alors qu'il donne le titre de son roman "Adieu Atlantis". Ce sont les mots exacts employés à la fin du second chapitre de mon roman "L'Apocaplypse d'Arkahn"... J'aime provoquer les synchronicités, je me dis donc que lui est un auteur connu, et moi non. Que nenni, on apprend alors que son livre est à petit tirage et que son auteur est quasi inconnu. Grâce à la synchronicité, l'ouvrage est un des rares à survivre au cataclysme. Son oeuvre sera utile à travers l'espace et le temps. J'y vois un message d'espoir et d'encouragement. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.