lundi 21 mars 2016

Le silence des ondes et des morts


Paris sera toujours Paris, même avec des antennes sur la tête.

L'essor des antennes relais et la multiplication des réseaux s'intensifient dans l'indifférence générale. La récente installation des compteurs Linky d'EDF au coeur de nos foyers entraînent de nouvelles inquiétudes.

Ces craintes sont confrontées à la stratégie du doute scientiste de nos systèmes libéraux, où aucune preuve de dangerosité n'est suffisante aux yeux des experts mandatés. Le droit international ploutocratique jette aux ordures tout principe de précaution, sans aucun compte des souffrances et des morts. Le loup se déguise en mère-grand et tenter de le confondre en tête-à-tête débouchera sur une fin de non recevoir, si ce n'est d'être dévoré sans état d'âme. Qui déclarera l'ouverture de la chasse ?

Sur le lien ci-dessous, vous pouvez voir le documentaire "Ondes, science et manigances. Enquête sur la manipulation de la science par les industriels de la téléphonie mobile" en fin de page, 1ère vidéo parmi les 4 dernières :

http://www.blueman.name/Des_Videos_Remarquables.php?NumVideo=8318

Quelles utilisations peuvent-elles être faites de ces ondes ? La manipulation mentale par l'émission de certaines fréquences est prouvée. En dehors du danger sanitaire et des profits en jeu, nous pouvons douter des véritables intentions derrière le rideau magnétique de plus en plus opaque dans lequel nous nageons perpétuellement; et ceci depuis peu.

Le phénomène est démultiplié par l'épandage des chemtrails dont nous respirons les fines particules d'aluminium, et qui améliore la propagation des ondes dans l'air. Notre réceptivité en est décuplée, l'aluminium se stockant dans notre cerveau. Cet aluminium est partout, dans l'eau potable, l'alimentation, les cosmétiques, etc.

Je n'y vois pas qu'une erreur dramatique, mais une intention aux perspectives inquiétantes. Notre civilisation s'apprête à changer, de gré ou de force. L'orientation de ce changement est un enjeu mondial. Complot, pas complot, pourquoi, comment. Le contrôle des populations est un rêve chéri depuis l'aube des temps. La mondialisation des nouvelles technologies offrent des applications inédites dans l'histoire. Le croque-mitaine prend forme, comme les cauchemars d'Orwell et Huxley.

Il devient vital d'arrêter la mise en place de ces horreurs inhumaines, de lever le voile invisible qui tombe doucement sur nos vies et notre avenir. Une toile se tisse, et nous percevons à peine que nos mouvements commencent à être entravés.

dimanche 13 mars 2016

Le choix d'un inconnu

Un homme est debout, dans une pièce sombre, arme à la main, face à un autre homme allongé au sol.

- Tu sais ce qui va se passer. Un dernier mot ? Non ? Tu voulais parler pourtant. Je suis là maintenant, je t'écoute. Je suis désolé de ce qu'a pu faire mon collègue. Je le connais à peine. Il n'est pas très malin. On choisit pas sa famille comme on dit. Certes, techniquement il n'est pas de ma famille. C'est une façon de parler. Mais par la force des choses, on fait partie toi et moi de deux familles différentes, et lui il fait partie de la mienne. Alors je m'excuse. Au nom de qui ? De moi, de lui, des deux ? C'est compliqué. Je ne vais pas parler en son nom. Je ne le connais pas. Tu veux savoir pourquoi j'ai un flingue ? Il me l'a donné... pour que je te tue. Si je refuse, c'est lui qui me tue.


Quel choix ai-je ? Ta famille ne m'acceptera jamais, après ce qui s'est passé. Mon seul choix c'est lui. On n'y peut rien, ni toi ni moi. On savait que ça finirait mal. D'autres ont écrit l'histoire pour nous, en nous dressant les uns contre les autres. Diviser pour mieux régner. Au final, on s'entre-tue et eux gagnent. Une guerre des clans. Clan, c'est plus clair que famille. Un clan ou un camp. Mais là on ne choisit pas son camp, il est choisi à la naissance. Tu aurais sans doute voulu qu'on se rencontre plus tôt pour se parler comme ça. Moi aussi, mais c'est trop tard. Qu'est-ce que ça aurait changé de toute façon ? On serait devenus amis, et après ? Toujours cette histoire de famille. Ami ou pas, c'est le sang qui reste. Les miens préfèrent se taire. Certains affûtent leur haine. Une haine mêlée d'envie. Rien de beau ni de glorieux. On pourrait essayer de comprendre. A quoi bon ? Tu vois, on discute, et après ? Ca reste entre nous, entre ces quatre murs, gris et sombres. Personne ne nous entend. Ca me ferait tout de même plaisir que tu me répondes. J'ai entendu ce que tu as dit tout à l'heure, sur l'amour, la fraternité. Ca m'a touché. J'ai envie d'y croire. Ca les a fait rire, mais pas moi. Je m'excuse de ne pas avoir répondu, mais je ne suis plus qu'un soldat dans une guerre qui me dépasse. Courage et naïveté face à l'horreur. On la subira tous. Toi le premier. On nous fait croire des sottises, à toi comme à moi. Nos vies sont livrées au champ de bataille. Plus rien d'autre ne compte que tuer son ennemi. Tu vois, je suis armé. Pas toi, mais on est ennemi. Tu es une des premières victimes de la guerre. Maintenant que tu sais où on va... si je te donne cette arme, que feras-tu ? Que choisiras-tu de faire ?

L'homme pose son arme au sol.

- Ah, c'est vrai. Tu n'as plus le choix. Tu es déjà mort. C'est dommage. Il n'y a plus de place pour l'amour et l'intelligence. On sait ce qui va se passer. A la vie, à la mort. C'est l'escalade des représailles, de la vengeance, de la haine. Quand le sang aura cessé de couler, il ne faudra pas oublier de pendre les responsables. Oui, ils existent et ils méritent davantage de mourir que toi ou moi. On ne saura jamais si on pouvait vraiment vivre ensemble, si on pouvait atténuer nos clivages, si on pouvait laisser tomber nos prétextes à la haine, si la justice et l'équité avaient encore du sens. Notre chance est morte, tu es mort. Il ne reste que ma voix dans le silence, que la colère et la peur dans ma chair. Mais je respire encore. Quoi qu'il se passe dans le futur, je n'oublierai pas. Mes mains ne sont pas souillées de ton sang, mais ta mémoire hante désormais mes actes à venir. Des échos malveillants se propagent dans nos coeurs et nos esprits, au rythme des vies sacrifiées sur l'autel des fous. Est-il raisonnable de les ignorer contre vents et marées ? Tu as senti cette folie dans ta chair, et seule la mort y a mis un terme. Rien n'y a fait. Aucun de tes discours, aucune de tes croyances, aucune de tes suppliques. Il n'y a qu'une seule manière pour que cela ne se reproduise plus. Tu as fait ton choix, ta famille fera le sien en votre nom à tous, comme la mienne l'a fait pour moi. Nous sommes en guerre, et nous en faisons tous partie, bien malgré nous.

jeudi 5 novembre 2015

Fugue onirique, d'une réalité à une autre


Lovecraft, grand rêveur des profondeurs.

Je ne vais pas parler de mes explorations les plus fantastiques, car je n'en ai jamais pris note, contrairement à Lovecraft. Mes souvenirs en sont éparses et décousus. Je vais vous parler du rapport trouble entre rêve, imaginaire et réalité, en laissant de côté la psychanalyse névrosante de papa Freud, bien que son fantôme nous hante toujours. Ici, il s'agit de la retranscription plutôt fidèle d'une succession de trois rêves.

Le soir avant de me coucher, je m'étais mis à réfléchir à ma journée. J'avais annoncé à mon père l'abandon d'une perspective professionnelle. Cela faisait écho à de précédentes désillusions, et à une situation précaire qui s'éternise. Quel avait été son propre chemin de vie ? Vers où se dirigeait le mien ?

Je m'endors et commence à rêver. Les événements s'enchaînent jusqu'au moment où je me balade en compagnie de mon père. Miroir de la journée, il parcourt la ville et je le suis dans ses errances. Nous arrivons à hauteur d'une prison. L'air de rien, il m'entraîne dans une visite des lieux. Personne ne nous remarque, et nous pénétrons dans les couloirs communs aux prisonniers. Ils vaquent à leurs affaires, nous jetant à peine un regard. Nous ne devrions pas être là. Pourtant mon père persiste. Nous arrivons devant une sortie. Plusieurs personnes empruntent une porte protégée d'un digicode. Elle semble déboucher sur une gare fréquentée. Mon père profite du va-et-vient pour se faufiler à l'extérieur. Je lui emboîte le pas et remarque un garde de la prison qui nous observe. Il nous suit sans rien dire. Nous rejoignons la foule et nous apprêtons à quitter la gare. C'est alors que le garde décide de nous intercepter.
« Vous n'aviez pas le droit de circuler ainsi dans la prison, nous dit-il. »

samedi 6 décembre 2014

Conversation avec son imaginaire - 2/ Le Kay

Voici la suite des conversations imaginaires avec un des personnages issus du roman "L'Apocalypse d'Arkahn". Ici, un homme prénommé Le Kay.

Le Kay fut un acteur de premier rôle oeuvrant pour le changement, il y a très longtemps dans un empire galactique. Artiste, empereur, père, fils, paria, adoré puis honni. Il traversa les âges, les marquant d'une empreinte passionnée. Transcendant la mort, sa vie s'épanouit dans autant d'incarnations que de défis qui se présentent à lui. Il est un mythe, une légende, un souvenir polymorphe.

"Le Kay" pour un voyage dans l'espace-temps.

Je l'invoque, célébrité oubliée du fin fond des âges, idéal perdu dans nos mémoires. Il est déjà là, attendant l'ouverture de rideau annonçant son entrée en scène. Nous nous connaissons, un peu. Il est habillé simplement, en toge romaine, ses cheveux ondulant de reflets enflammés. Il s'approche, pieds nus sur un parterre d'herbes vertes sous un ciel bleu limpide, et engage le dialogue, avec un léger sourire.

lundi 29 septembre 2014

Conversation avec son imaginaire - 1/ L'amazone

En cette phase de transition troublée, il est temps d'invoquer des mémoires transcendant le temps et l'espace.

Projetons-nous dans l'espace infini.

Pour cela, je vais m'inspirer du triptyque "Conversations avec Dieu" de Neale Donald Walsch. Il s'agit d'une conversation imaginaire entre l'auteur et Dieu, sous forme de questions-réponses.

Je vais faire appel aux personnages qui ont inspiré mon roman, des personnages venus d'une imagination lointaine, ancestrale. Leurs aventures m'ont notamment suggéré l'article "Synchronicité abyssale". Les recherches modernes tendent à prouver que la notion d'espace-temps est relative, avec des perspectives quantiques vertigineuses. Si mes personnages imaginés sont les traces d'un passé antédiluvien, ils vivent donc encore dans des dimensions qu'il suffit d'entrouvrir.
Le thème de la conversation seront les tensions qui s'accumulent et devront se libérer. Les nations vibrent à l'unisson avec la Terre qui gronde et implose avec ses séismes et ses éruptions.

Imaginez et vous verrez, tel un visage qui se dessine dans les contours d'un nuage errant, ou dans l'ébauche d'un dessin.

samedi 14 décembre 2013

Les 10 principaux mensonges internationaux

Du cinéma comme on l'aime !

Ne pas savoir est une chose, travestir délibérément la vérité en est une autre. Main dans la main, la plupart des Etats du monde se sont entendus dans une version des faits mensongère.
"Le mensonge est une forme de manipulation qui vise à faire croire ou faire faire à l'autre ce qu'il n'aurait pas cru ou fait, s'il avait su la vérité."
Ou plutôt, le mensonge est un propos tenu pour "faire croire" une chose à son destinataire, alors que le locuteur la sait fausse.

A une telle échelle, il n'y a pas de mensonge gratuit. Savoir que l'on est trompé ne suffit pas à connaître la vérité. Pourquoi et dans quel intérêt ? Poser la bonne question est déjà un début de réponse. Voici les 10 principaux mensonges que les états cultivent unanimement :

1/ Le mensonge historique
Des origines de l'homme bien plus anciennes, aux savoirs mystérieux.

2/ Le mensonge énergétique
Des sources d'énergie imposées et des alternatives étouffées.

3/ Le mensonge agro-alimentaire
Privatisation des semences, de l'eau, et dangerosité des OGM.

4/ Le mensonge médical et sanitaire
Multiplication folle des facteurs pathogènes et gestion économique des malades.

5/ Le mensonge climatique
La propagande du réchauffement climatique cachant un bouleversement global.

6/ Le mensonge financier
Les finances publiques aux mains de banques privées.

7/ Le mensonge démocratique
Les oligarques au pouvoir.

8/ Le mensonge politico-médiatique
L'art de faire du cinéma une réalité à l'aide d'un monopole consensuel.

9/ Le mensonge judiciaire
La Justice compromise en haut lieu.

10/ Le mensonge d'intérêt général
L'intérêt particulier au premier plan.

dimanche 20 octobre 2013

Double dose de chemtrails


A quelles frontières s'arrêtent-ils ?

L'arrivée de l'automne a vu exploser l'épandage de chemtrails au-dessus de notre douce France. Pour rappel du phénomène, je vous enjoins à consulter ce précédent article : http://triaglon.blogspot.fr/2012/10/sur-la-piste-des-chemtrails.html

Depuis mi-octobre, ça quadrille sec et en quantité. J'ai vu, il y a quelques jours, deux avions voler côte à côte, en parallèle et parfaite synchro former deux belles lignes, qui ont été croisées en perpendiculaire par deux autres avions eux aussi en parallèle. Je n'avais pas encore vu ça à une telle échelle. Les chemtrails recouvrent le ciel nuit et jour. Cela semble être le cas pour une bonne partie de la France. Une urgence ? Quelle nécessité d'augmenter drastiquement les doses ? L'enfumage est total. On voit l'agitation, on voit la fumée, mais on ne peut qu'imaginer ce qu'on nous cache. Le silence assourdissant entourant une opération internationale d'une telle ampleur est impressionnant, que ce soit de témoignages d'insiders ou de prises en compte d'un phénomène visible par tous. La logistique nécessaire et la collaboration de la main d'oeuvre requise font penser à une opération impossible, et pourtant...

mardi 27 août 2013

Laisser une chance

Une fourmi est collée à mon vêtement. Ses mandibules semblent coincées dans les fibres. Je l'extirpe difficilement. Elle remue à peine. Une patte est coupée. Deux autres sont inertes. Dois-je abréger ses souffrances ? Dois-je lui laisser une chance ? Elle gesticule maladroitement à la surface du lavabo humide. Le temps d'une douche décidera de son sort...

Elle a récupéré, elle marche. Sa détermination lui a sauvé la vie. Elle s'envole, accrochée à une feuille blanche, dans la nuit qu'elle n'aurait jamais dû quitter.

Quelques soient nos intentions, dans le mystère de nos actes, et dans notre estimation du bien et du mal, il subsiste un doute salvateur. A l'écoute de ce doute, nous laissons le temps faire son œuvre. Il y a toujours une condition à la chance. Il nous appartient de l'exprimer en des termes qui nous permettent de l'entrevoir et de la saisir.

Pour laisser une chance, il faut l'imaginer.

samedi 3 août 2013

Musclons nos prières


Quand sa force ne suffit plus, il faut faire appel à quelque chose de plus grand.

Voilà mon constat, après une errance prolongée. J'ai fait l'erreur de me reposer sur les facultés à la mode qu'on nous exhorte à développer à l'excès. Tel un crabe violoniste, à la pince disproportionnée, nous déséquilibrons notre être et sa marche naturelle. Pire, nous normalisons les difformités sociales dans des équilibres illusoires.

 C'est ici la réunion des monstres ?

Pas facile de se transformer en calculatrice bodybuildée bien dans sa peau. J'ai oublié dans mes calculs l'amour et l'espérance. Nos performances explosent les compteurs, mais nous nous handicapons, et limitons nos autres potentiels.


Il y a une différence entre l'idéal et la réalité.

lundi 29 juillet 2013

L'Apocalypse d'Arkahn


Une couverture qui en jette !

    "L'Apocalypse d'Arkahn" est enfin disponible chez Terriciaë. C'est un premier roman contant la chute d'un Empire galactique né il y a 220 000 ans. Le jeune Arkahn participe aux tenants et aboutissants de cette chute, en quittant la colonie terrienne d'Atlantis, 20 000 ans avant notre ère. Cette Humanité antédiluvienne doit composer avec les conséquences d'une histoire oubliée depuis la nuit des temps. Voici venu le temps de l'Apocalypse !

Disponible en commande sur Amazon et consors :  

    Je vous en propose la lecture du prologue :

    La fin. Un magicien sans rêve dans une ultime représentation. L’amphithéâtre était aussi sombre que le cœur de l’homme qui en foulait les dalles dures et froides. Une inscription rayonnante faisait office d’étoile isolée dans des ténèbres sculpturales le long d’une impressionnante coupole. Elle était la prophétie improvisée d’un illustre renégat. Écrite dans une langue magique ancienne elle délivrait un message unique à chaque personne capable de la déchiffrer. Il en était capable, lui Oraguur le grand She Valieh Tori archibicaïniste maître de la Guilde Triaglonique. Après lecture, la première chose qui lui vînt à l’esprit fut d’invoquer une cigarette prête à fumer dont la toxicité apportait un plaisir suave. Il consumait volontairement une partie de sa vie en une douce lueur qui dévoilait impudiquement son inéluctable fin.
    Le fugitif voulait donc apposer une prophétie indélébile que tous les responsables impériaux seraient obligés de voir, et en premier lieu l’Empereur. Infiltrer le cœur du palais impérial juste pour cela était intriguant. Le fugitif était là, tapi dans l’ombre, à observer sa moindre réaction. Acteur et spectateur immobiles. Aucun d’eux ne souhaite rompre ce fragile état de grâce d’une parole malheureuse. L’Empereur avait ordonné à l’archibicaïniste d’effacer toute trace de cet homme. Hélas, il ne pourrait effacer cette inscription. La pierre du palais était inaltérable. Pourtant cet homme avait réussi ce miracle. Voilà comment il avait réussi à lui échapper jusqu’à maintenant, en enchaînant les miracles. Oraguur était le plus grand archibicaïniste de l’Empire et un homme résistait à ses tours prodigieux par des miracles imprévisibles. Il était temps que cela cesse. Mais pour qui ? La prophétie le déstabilisait par sa justesse. Elle mettait en lumière ses doutes les plus inavouables quant à l’action juste et l’avenir de l’humanité. Ses ambitions s'annonçaient condamnées à l’échec de son vivant.
   Le fugitif avait fait sombrer la galaxie impériale dans l’horreur et l’Empereur avait aujourd’hui l’occasion de tout remettre en ordre avec son aide. Pourtant l’avenir était sujet à caution malgré l’espoir concret d’une sortie des ténèbres. Son expérience séculaire l’affirmait.
    La cigarette arrivait à sa fin. Le grand sorcier la jeta à ses pieds et l’écrasa pour l’éteindre. Le fugitif avait été son ami. Il avait été aussi empereur. Mais ses crimes étaient impardonnables, quelles qu’en soient les raisons. Tous les citoyens impériaux avaient été personnellement touchés par les tragédies innommables engendrées par cet homme, sans compter les chiffres astronomiques des pertes humaines. Toute la galaxie était à feu et à sang.